
A la suite des accords d'Evian, en 1962, un cessez-le-feu est proclamé entre les combattants algériens pour l'indépendance de leur pays et l'armée française chargée de maintenir l'ordre dans un département français. Trente-huit ans plus tard, lors de sa visite à Paris, en l'an 2000, le président algérien Bouteflika demande à la France de faire une déclaration de repentance pour tous les crimes commis par elle en Algérie.
Le nombre total des morts (toujours difficile à établir avec précision, même en l'an 2000) doit se situer...
[Lire la suite]