20 mars 2022

1971 - LE PRESIDENT ALGERIEN BOUMEDIENE NATIONALISE LES COMPAGNIES PETROLIERES

Neuf ans aprés l'indépendance de l'Algérie, le président Houari Boumediène décide, en février 1971, de nationaliser les entreprises d'extraction de pétrole du pays et déclenche ainsi une crise durable avec la France... Cette dernière commence par ne plus acheter de vins algériens. L'Algérie accuse par la suite la France de ne pas chercher à enrayer la série de meurtres perpétrés à l'encontre des migrants algériens qui résident sur le sol français... En 1975, la visite en Algérie du président français Valéry Giscard d'Estaing... [Lire la suite]
04 avril 2019

1992 - L’ARMÉE ALGÉRIENNE CONGÉDIE LE PRÉSIDENT DE L’ALGÉRIE

En octobre 1988, l'Algérie vit des émeutes auxquelles le pouvoir répond en faisant ouvrir le feu sur les manifestants. Officieusement, cette répression aurait provoqué la mort de 600 jeunes Algériens. Puis, le gouvernement cherche l'apaisement en autorisant l'existence de partis autres que le FNL et en cessant de museler la presse. Quand Mohamed Boudiaf revient d'exil en 1992, il trouve cependant le pays en pleine crise... L'armée vient en effet d'imposer au président Chadli Bendjedid (au pouvoir depuis 13 ans) de démissionner. ... [Lire la suite]
06 janvier 2018

1994 - LES TERRORISTES ALGÉRIENS GÂCHENT LE NOEL DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS

A la mi-octobre, le général Mohamed Lamari annonce le début d'une répression sans merci, laquelle va permettre à l'armée algérienne d'éradiquer totalement les réseaux islamistes qui sévissent dans le pays. Le 29, Liamine Zeroual, chef de l'état algérien, déclare qu'aucun dialogue ne sera possible avec les représentants du Front Islamique du Salut (FIS) tant qu'ils cautionneront les actes de terrorisme. Le 24 décembre, en guise de réponse, un commando islamiste s'empare d'un Airbus d'Air France sur l'aéroport d'Alger et... [Lire la suite]
30 mai 2016

1999 - BOUTEFLIKA SERA-IL ELU A LA PRÉSIDENCE DE L'ALGERIE ?

L'élection du nouveau président algérien doit avoir lieu le 15 avril mais, la veille,  6 des 7 candidats se retire en même temps... Le réformateur Mouloud Hamrouche, le nationaliste islamique Ahmed Taleb Ibrahimi, le vieil opposant Hocine Aït Ahmed, le héros de la guerre d'indépendance Youcef El Khateb, l'ancien 1er ministre Mokdad Sifi et l'islamiste Abdallah Djaballah affirment que des fraudes massives ont été constatées dés le début du vote. Ils laissent donc seul en course le candidat du pouvoir en place, c'est à dire... [Lire la suite]