
Sur le front de Verdun, le chef suprème de l'état-major, Erich von Falkenhayn, préconise de profiter de la supériorité allemande en artillerie pour faire une guerre d'usure aux français. Falkenhayn sait que, d'une part, l'armée française veut garder Verdun quel qu'en soit le prix en vies humaines et, d'autre part, qu'elle aura du mal à y renforcer son artillerie car seule l'étroite route de Bar-le-Duc lui permet d'accéder au front...
Ainsi, l'artillerie allemande arrose 11 kilomètres de lignes françaises sous 1 million d'obus....
[Lire la suite]